Fille aînée du roi des Belges Léopold II et de la reine Marie-Henriette, elle se marie à Bruxelles, le , avec son cousin le prince Philippe de Saxe-Cobourg. Ils s'établissent à Vienne, dans le sillage de la cour autrichienne et ont deux enfants : Léopold (1878-1916) et Dorothée (1881-1967).
Son mariage devient rapidement délétère. Louise, dotée d'une personnalité forte et entière, refuse de se soumettre à un mari qui ne lui convient pas et que la politique lui a imposé. Elle réagit en menant une vie prodigue et mondaine, faisant les beaux jours de la cour de Vienne où sa beauté attire. Louise est vite précédée par une réputation de scandale à laquelle elle donne du crédit en menant plusieurs liaisons successives avant de s'éprendre de Geza Mattachich, un officier aristocrate croate.
Louise créant le scandale dans l'Europe entière, son mari la fait déclarer folle et convainc l'empereur François-Joseph de l'interner dans un hôpital psychiatrique, tandis que Mattachich est accusé de faux en écritures et incarcéré. Libéré quatre ans plus tard, Mattachich réussit à faire évader la princesse. Tous deux parcourent ensuite l'Europe. Réussissant à prouver son équilibre mental, Louise divorce à l'amiable en 1906.
Une existence d'apatride débute pour Louise, laquelle, de concert avec sa sœur Stéphanie, intente plusieurs procès contre l'État belge pour récupérer l'héritage de leur père — mort en 1909 — dont elle s'estime lésée. Ces procès sont perdus par les deux princesses. Cependant, elle perçoit tout de même, en 1914, une part de la fortune du défunt roi.
La guerre et la défaite allemande appauvrissent encore la princesse qui décide de publier ses mémoires sous le titre Autour des trônes que j'ai vus tomber qui constituent également un témoignage sur la vie des cours européennes. Philippe, son ex-mari, meurt en 1921. Dans un dénuement complet, Louise meurt, un an après Mattachich, en 1924, à 66 ans, laissant pour seule descendance sa fille Dorothée qu'elle ne voyait plus.
Le souvenir majeur qu'elle laisse en Belgique est l'avenue Louise qui porte son nom à Bruxelles.
Pointe Trigano.L’immeuble de 2 m de large situé au no 97 rue de Cléry à Paris(photo) n’est pas celui dans lequel André Chénier habitait, quoique son adresse soit exacte.
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Les stations spatiales se distinguent des autres engins spatiaux, comme la Navette spatiale, par le fait qu'elles peuvent rester en orbite de nombreuses années. Elles sont également incapables de retourner sur Terre et ont une capacité de changement de trajectoire qui se limite à éviter des débris spatiaux.
Alors que les satellites artificiels sont mis sur orbite en une seule fois, les stations spatiales, en raison de leur taille importante, sont généralement divisées en modules. Ces derniers sont ensuite mis sur orbite et assemblées dans l'espace.
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