Bannière des républiques maritimes italiennes : lion de saint Marc pour Venise, croix de saint Georges pour Gênes, croix de Malte pour Amalfi, croix tréflée pour Pise.
L'établissement de ces comptoirs est, dans un premier temps, facilité par les relations qu'entretiennent les républiques italiennes avec l'Empire byzantin, notamment lors de la première croisade au cours de laquelle Vénitiens, Génois et Byzantins combattent dans le même camp contre les Seldjoukides. Par la suite, Venise profite des dissensions byzantines pour détourner en 1204 la quatrième croisade vers l'Empire, saccager Constantinople et s'emparer de nombreux ports byzantins, de la plupart des îles grecques et de la Crimée, à l'extrémité occidentale de la route de la soie.
L'alliance en 1261 de l'Empire byzantin avec la république de Gênes, rivale de Venise, permet à Gênes d’étendre à son tour sa zone d'influence dans les mers Égée et Noire, carrefours stratégiques de la route de l'ambre reliant la mer Baltique aux villes méditerranéennes d'Europe et d'Afrique du Nord, ainsi qu'à l'Empire mongol.
Concurrentes pour exercer leur domination commerciale entre les continents, les deux thalassocraties italiennes alternent des périodes de coopération et de tension qui dégénèrent à plusieurs reprises en affrontements armés, dont les principaux sont les guerres de Saint-Sabas (1256-1270) et de Chioggia (1378-1381). C'est durant cette période que le gouvernail d'étambot apparaît puis se généralise en mer Méditerranée.
Lorsque plusieurs sujets sont désignés par le même terme, des pages spéciales dites d’homonymie sont créées. Ces pages ne listent pas seulement de véritables sujets homonymes, mais aussi des sujets dont les désignations sont très liées. Ces pages sont signalées par le modèle {{Voir homonymes}} dans les différents articles et la page de choix présentant le modèle {{homonymie}}. Le modèle {{lh}} est utilisé dans le corps des articles pour signaler qu’un sens ambigu n’a pu être choisi, et vous invite à le faire. Cette page d’homonymie n’est pas toujours la page d’accès direct au terme, car Wikipédia suit le principe de moindre surprise (no 4 de la convention des titres). De ce fait, ces pages d’homonymies sont souvent nommées « XXXX (homonymie) ».
Un autre système analogue permet de réorienter vers les homophones, il s’agit du modèle {{Voir homophones}}. Il peut être utile de faire figurer le modèle homophone et {{Voir homonymes}} sur la même page.
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Les stations spatiales se distinguent des autres engins spatiaux, comme la Navette spatiale, par le fait qu'elles peuvent rester en orbite de nombreuses années. Elles sont également incapables de retourner sur Terre et ont une capacité de changement de trajectoire qui se limite à éviter des débris spatiaux.
Alors que les satellites artificiels sont mis sur orbite en une seule fois, les stations spatiales, en raison de leur taille importante, sont généralement divisées en modules. Ces derniers sont ensuite mis sur orbite et assemblées dans l'espace.
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